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Ce que le football peut nous apprendre sur la politique d’un pays

Le football est plus qu’un sport, car il unit les gens au-delà des pays et des cultures. C’est un langage. Il a un rythme. Et oui, il est le reflet de la politique d’un pays. L’énergie et l’attention que le sport peut susciter sont incomparables. Qu’il s’agisse d’un but, d’une déclaration politique ou d’un défi. Certaines idées peuvent circuler dans les bâtiments gouvernementaux et dans les rassemblements. Un simple carton rouge peut symboliser les protestations, tout comme un gros titre. Dans cet article, nous allons approfondir les multiples facettes du monde du football et de la politique !

Les stades comme symboles

Combien de régimes ont-ils construit des stades non seulement pour le sport, mais aussi pour montrer au monde leur puissance ? Le Maracanã du Brésil était un message d’ambition en 1950. Le Nid d’oiseau de Pékin s’est dressé comme une déclaration en 2008. Même Saddam Hussein a investi des millions dans la ville sportive de Bassorah. Les stades dépassent souvent la logique, les budgets et même les objectifs. Pourquoi ? Parce qu’ils sont des monuments à la vision – ou à l’ego. Entrer dans un stade, c’est entrer dans l’image de soi d’une nation.

Et aujourd’hui, même sans sortir de chez nous, nous ressentons cette échelle – chaque grand match de football se déroule encore dans des arènes, où l’écho des cris des supporters peut être entendu à travers les écrans. C’est pourquoi la plateforme pari foot – melbet-mali.com/fr/line/football – devient un véritable portail vers le monde des émotions du stade. On n’y suit pas seulement le match, on y parie sur l’histoire, sur la tradition, sur l’esprit des tribunes. Car le football est aussi un symbole. Et les enjeux ne sont pas seulement des chiffres, mais des sentiments !


Équipes nationales et identité

Lorsqu’un pays aligne son équipe, il ne s’agit pas seulement de savoir qui marque. Il s’agit de savoir qui portera le maillot. Et cela en dit long. Les équipes nationales deviennent des portraits de la façon dont les pays se perçoivent – ou veulent être perçus. Examinons de plus près ce que les équipes nationales révèlent :

  • Lors de la victoire de la France à la Coupe du monde 1998, l’équipe était multiculturelle : Zidane (d’origine algérienne), Thuram (Guadeloupe), Desailly (Ghana). Cette victoire a donné naissance à une nouvelle identité française : « Black-Blanc-Beur ».
  • L’ascension de la Croatie en 2018 est devenue un symbole de la force post-indépendance, avec Luka Modrić en tant que survivant de Zadar déchiré par la guerre.
  • En 2010, l’Afrique du Sud, qui accueillait la Coupe du monde, voulait prouver sa fierté post-apartheid. C’était plus que du football, c’était de la guérison.
  • La saga Mesut Özil en Allemagne en 2018, lorsque le milieu de terrain turco-allemand a pris sa retraite en invoquant le racisme, a suscité un examen de conscience national sur l’intégration.

Les équipes nationales ne sont jamais simplement choisies, elles sont façonnées, sculptées et examinées à la loupe. Car chaque équipe raconte une histoire.

Le pouvoir dans les tribunes

Les stades de football ont été des foyers de protestation. En 1973, au Chili, le dictateur Pinochet a transformé l’Estadio Nacional en prison, mais des décennies plus tard, il est devenu un lieu de mémoire et de résistance. En Égypte, les Ultras Ahlawy, les supporters d’Al Ahly, ont joué un rôle essentiel dans le soulèvement de 2011. Il ne s’agissait pas seulement de supporters. Ils étaient des voix.

Les gouvernements le savent. Sinon, pourquoi Erdoğan, en Turquie, adopterait-il des lois limitant les chants et les banderoles ? Ou pourquoi la Russie aurait-elle mis en place une chorégraphie de soutien lors des Jeux de 2018 ? Les tribunes ne sont pas de simples sièges. Ce sont des sièges de pouvoir. Et lorsqu’ils se lèvent, ils font entendre une voix que les politiques ne peuvent ignorer.

Quand la politique s’invite dans les vestiaires

Parfois, il n’y a pas que les supporters : la politique entre directement dans les vestiaires. Les entraîneurs, les joueurs, les équipes, tous peuvent devenir des déclarations politiques. Voici comment cela se passe :

  • L’équipe nationale iranienne présente à Qatar 2022 a refusé de chanter l’hymne national en signe de soutien aux protestations dans son pays. Ce silence ? Un silence assourdissant.
  • L’équipe d’Ukraine en 2021 portait des maillots à l’effigie de la Crimée et des slogans patriotiques. La Russie a réagi avec indignation.
  • L’agenouillement de l’équipe féminine américaine pendant l’hymne a déclenché un débat national passionné sur la race et le patriotisme.
  • La victoire de l’Argentine à la Coupe du monde 1978 sous une junte militaire a soulevé des questions : célébration ou manipulation ?

Dans chaque vestiaire, il y a plus que de la sueur et de la stratégie : il peut y avoir de la résistance, de la loyauté, de la peur ou de la fierté. Et cette tension se retrouve sur le terrain.

Drapeaux, hymnes et signification

Regardez autour de vous avant le coup d’envoi. Les drapeaux s’agitent, les hymnes s’envolent, les joueurs ferment les yeux – que regardons-nous vraiment ? Il ne s’agit pas seulement d’un rituel. Nous voyons des symboles s’affronter ou s’unir.

Prenons l’exemple du Kosovo. Son entrée dans la FIFA en 2016 n’était pas seulement du football, c’était une reconnaissance sur la scène mondiale. Ou encore la Catalogne, dont l’équipe non officielle, bien que non sanctionnée par la FIFA, joue des matches comme un acte d’identité politique. Et pensez à la Palestine : chaque match est une déclaration de présence.

Et puis il y a l’hymne. Lorsque l’Italie joue « Il Canto degli Italiani » ou que le Brésil entonne « Hino Nacional Brasileiro », c’est un moment d’union. Un rappel : la politique ne porte pas que des costumes, elle porte aussi des maillots.

 

En fin de compte, c’est une question d’appartenance

Lorsque le coup de sifflet retentit, que la foule s’enflamme et que le but inscrit à la dernière minute se fracasse sur le filet, il n’est pas question de frontières, de bulletins de vote ou de factures. Il s’agit d’un sentiment, d’une appartenance. Tout le monde peut se rallier au football. N’est-ce pas finalement la forme la plus profonde de la politique ?

 

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